dimanche 28 juillet 2013

De la frontiere Franco-Italienne jusqu aux premiers Lacs.












1er bivouac en Italie, pres de Susa.
Nous commencons le stop, tot le matin, et remarquons vite que cela est beaucoup moins populaire ici.

Le peu de personnes qui nous embarquent veulent absolument nous deposer a une station de train. Malgre cela, nous arrivons au centre de Turin en debut d apres-midi, etape non prevue!! Nous voulions rester sur les grands axes pour rejoindre les lacs.
Des l arrivee, nous regrettons de ne pas avoir stoppe notre conducteur avant. Nous marchons pour rejoindre l entreee de l autoroute, mais le stop y est impossible... Demi-tour pour la nationale et apres 5 heures de stop .... ABANDON, on prend le bus pour sortir de cette ville infernale.
Bivouac de derniere minute avec moustiques bien evidemment.





Reveil a l aube, on marche jusqu a 13 heures sous un joli soleil qui commence a nous rendre zinzin.


Deux nanas, sortient de nul part, nous emmenent a une gare (et oui encore) et cette fois, nous nous laissons porter par le train jusqu a Milan puis Bergame.
En attendant un nouveau bus, nous avons 30 minutes pour acheter de la nourriture, pas de magasin a moins d 1 kilometre, nous nous rabatons sur un Mc DO, que l on deguste tranquillement dans le bus en direction de Sarnico.














Sarnico est une tres jolie ville bordant le lac d Iseo dont nous faisons le tour a la recherche d un endroit ou poser la tente et nous nous faisons aborder par Edouard, un quinquagenaire de 40 ans, qui nous raconte ses 67 jours de voyage a travers l Europe a velo.. (sympa, mais un peu trop du genre : "Ca te dit qu'on parle de moi"... )
Emplacement trouve, tente plantee mais Jeremiche (prononciation italienne) a mal au bide...on vous passe les details du double effets Mc Do.

La journee suivante se passe, au bord du lac, allonge avec Morphee pour Jerem et avec Lessive pour Elo.


Nous repartons le lendemain en direction du Lac de Garde. Le stop nous transporte au lac d Idro, un coin paisible ou une baigande nous attends, nous campons juste au bord.



 


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